comment vaincre la malédiction du chômage: Te reconnais-tu dans ce portrait? tu pries, tu jeûnes ou tu dors par terre pour t’humilier dans la prière, tu donnes tes dîmes et offrandes, tu vis dans la sanctification, tu lis et tu médites la parole tous les jours, on ne compte plus les fois où tu es tombé(e) dans le repos de l’esprit après une imposition des mains, tu lies/brises et chasses les démons du matin au soir, tu as chanté et dansé de toutes tes forces sur “mal à l’aise” de Mike Kalambay (“je suis de la nature du tout puissant, pour les sorciers je suis un danger public”)Mais quand on regarde ta vie, tu manifestes l’échec plutôt que la victoire du Christ à la croix. J’étais également dans ton cas. J’ai vécu des années de CDI, non pas contrat, mais chômage à durer indéterminé.  Tout cela par ignorance de certains principes spirituels. Dieu ne nous a pas mis sur terre pour souffrir indéfiniment. Alors, comme on me les a enseignées, je te transmets à mon tour 7 clefs tirées de la parole de Dieu pour changer ta situation et prendre l’avantage sur l’ennemi dans le domaine de ta vie professionnelle:

• savoir qui tu es réellement en Christ
• savoir s’engager dans le combat spirituel
• renouveler ton état d’esprit, tes pensées
• Faire attention à ce que tu entends
• Faire attention  ce que tu dis: le pouvoir de la déclaration
• savoir ce que tu veux: le pouvoir de la vision
• Et travailler, prospérer là où tues planté pour le moment.

Avoir une alliance au doigt est une bénédiction pour une femme. Le célibat est mal vu, le mariage donne plus de valeur. C’est ainsi que notre société construit toute une pression autour de la femme célibataire. Alors pour relever cet affront il faut se marier à tout prix et au plus vite. La famille, les amis et connaissances, tout le monde s’empresse de vous voir enfin marié. Devenue mariée, une autre réalité se présente. La société dira encore une vraie femme africaine est celle qui supporte tout dans le mariage. Tant de défis à relever pour une femme africaine. Sous toutes ces pressions, Clarence tenait à se marier à tout prix.

Epiphanie Nangui Tahi est médecin en fonction à Abidjan en Côte d’Ivoire. Elle est mariée et mère de trois enfants. Passionnée d’œuvres caritatives elle est très active dans la lutte contre la drogue au travers de l’ONG LEMY.

La lecture et l’écriture représentent sa seconde passion. Ce roman est le premier de toute une série qu’elle fera découvrir à ses lecteurs.

Les médias sont l’oxygène du terrorisme, car ce que les terroristes recherchent avant tout la publicité. Or, plus l’acte est violent, plus la couverture médiatique sera forte. Au travers d’exemples connus de tous – l’attentat du 11 septembre 2001, la crise des otages européens aux Philippines, les attentats éco-terroristes et les manifestations de violence lors des sommets mondiaux -, cet ouvrage montre comment les médias jouent, sans le vouloir, un rôle central dans la stratégie terroriste. L’auteur souligne en effet la tendance des médias à accorder une attention extrême à tout acte de violence politique, même mineur, et à passer sous silence l’information moins spectaculaire, comme l’action de manifestants pacifiques ou la lutte antiterroriste ; une tendance qui déséquilibre l’information et fait le jeu des plus violents. Elle met également en lumière le parti que les terroristes savent tirer des nouvelles technologies de l’information, courrier électronique et réseau Internet, pour transmettre leurs messages de manière extraordinairement efficace et à moindre frais et pour recruter des adeptes. Un livre magistral sur la difficulté pour les médias de rendre compte du terrorisme sans le servir, qui intéressera au premier chef les journalistes, mais aussi les instances gouvernementales et le grand public.